7 Days Before nous livre enfin son 1er bébé ! Une histoire en 7 chapitres. 7 aventures dont nous ne connaissons que quelques clichés révélés sur la pochette. Les 7 journées d’un mystérieux héros, ou anti-héros, nommé Dan Barnett.
L’album démarre en trombe avec No defense, où l’on retrouve tous les ingrédients qui font le style original du combo : gros riffs rock n’ roll, couplets rappés et montée progressive vers une fin plus lente, lourde et explosive.
S’en suit Silence a solution, balade aux chœurs harmonisés sur une base rapide et puissante.
Arrive ensuite le morceau et qui donne son nom à l’objet : Rip it, burn it. Couplets saccadés et ultra-groovy sur lesquels le chanteur déballe son flow à la vitesse grand V, et grosses guitares rock n’ roll pour un refrain ultra efficace.
Guillotine est sans conteste l’hymne du groupe avec son refrain entêtant, ses mélodies héroïques et son bridge fracassant.
Il débouche sans répit sur From my window, morceau autoroute super rapide et très court qui arrache tout sur son passage.
La piste suivante, The dark passenger, est signée Noone, artiste lyonnais de la fameuse écurie BEE Records : une introduction torturée aux basses fracassantes et mélodies macabres.
Et enfin, Petrified. Valses et autres rythmiques ternaires qui rappellent un cirque maléfique, vociférations morbides et bridge qui donne envie de se cogner contre les murs : 7 Days Before nous dévoile son côté le plus noir pour conclure l’album.
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