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Artiste

D.Lights

CHARLES TREES | Producteur
Elevé à Ann Arbor, dans le Michigan, Charles Trees a été bercé par les différents styles musicaux qui ont éclos à Détroit.
En 2009 Charles Trees sort son premier projet solo «Accepted Tuth» un split avec le beatmaker Mux Mool , et un projet techno avec Mingus Rude sur le label Moodgadget. En 2010, Musique Large sort son second EP «The Dream», puis il contribue et remixe l’album de Shigeto «Full Circle Remixes». En 2014, le label madrilène Lovemonk sort «Rootwork» un EP hybride fait d’improvisions expérimentales, de rythmes tribaux et de synthé acides.

YOGGYONE | Producteur
Fer de lance du label Eklektik Records, YoggyOne fait ses débuts sur la scène offbeat en 2008 avec la sortie de son Ep « Preparation », puis une série de collaborations avec plusieurs beatmakers reconnus, comme Devonwho (US), Ichiro (JP) ou Ad Bourke (IT).
Tout s’accélère en 2014 avec la création du groupe Cotton Claw. Très demandé et souvent volontaire, YoggyOne partage le temps que lui laisse The D.Lights entre concerts avec Cotton Claw ou son seul
nom, animation de nombreux workshops en tant que fan de synthétiseurs et autres «vieilleries» analogiques, et préparation d’un nouvel album solo.

FINALE | Rappeur
Rappeur confidentiel, reconnu mais discret, Finale fait partie de la nouvelle vague de jeunes rappeurs émergeant au début des années 2000, habituée des battles de Hip-hop de Detroit.
Finale comble le fossé entre les rappeurs des rues de Détroit et les icones de la scène underground. La réalité de Detroit, lui l’a vécu tous les jours dans le quartier Est, l’un des plus ravagé et l’un de ceux où les inégalités sont les plus criants. S’il sait qu’il a vécu dans un endroit qui peut s’apparenter à une zone de guerre, il en tire la substantifique moelle de son art : un rap ancré dans la réalité de sa ville.

MIZ KORONA | Rappeuse
Miz Korona est un électron libre de la scène de Detroit, une forte gueule, une iconoclaste, une révolutionnaire. Véritablement amoureuse de sa ville, et prête à la défendre bec et ongles, elle revendique avoir habité partout à Detroit, et ne sent pas affiliée à un quartier défini.
Porte-parole underground d’une certaine idée de la Motor City, c’est elle qui prononce les premières paroles de «8 Miles», puis qui ouvre dans le même film la scène de battle à l’usine avec Eminem et Xzibit.
En 2010, elle sort «The Injection», avec un format plus «traditionnel», et travaille à l’heure actuelle à la sortie d’un nouvel opus pour 2015.

INTRICATE DIALECT | Rappeur
Intricate Dialect, aka Intellectual Disciple, I.D ou simplement id a la curieuse particularité d’être à la fois rappeur, poète mais également... égyptologue. Une diversité qu’il applique également à ses influences, puisqu’il cite en vrac The Electrifying Mojo, le slam ou Twin Peaks.
Très ami avec de nombreux acteurs de la scène alternative underground de Detroit, Intricate Dialect rejoint The Abolitonists, un collectif qui regroupe entre autre Sun Hammer, Charles Trees, Shigeto, Tenacity ou Kadence.
Naturellement peu porté vers les feux de la rampe, id se considère comme un poète de l’underground, et compte bien rester fidèle à cette chapelle.