Avec son premier maxi “Le bon côté des choses”, Etienne Lainé pousse les portes de la scène française avec finesse et élégance... et pas mal de surprises et d’influences dans ses bagages.
Nourri de Ben Harper autant que de swing manouche ou de reggae, ce chanteur au timbre particulier, à la voix un peu écorchée, a démarré la construction du répertoire de ce premier opus à 15 000 km de l’Hexagone. C’est en effet sur les routes d’Australie, de Nouvelle-Zélande et d’Asie (qu’il va arpenter pendant plus d’un an), entre bars du bush, communautés de surfers et d’artistes, qu'il explore et précise son univers musical.
Rompu à l’exercice du one-man-gig, c’est pourtant la carte du collectif qu’il décide de jouer à son arrivée à Paris.
Il écrit davantage, compose de nouvelles chansons et en s’entoure d’une solide équipe pour arpenter les routes sinueuses de la construction d’une carrière artistique :
- son manager, Cédric Claquin, activiste de la musique indépendante depuis 15 ans (K2r riddim ou Raspigaous), fondateur du label Ailissam, de la fédération CD1D et de la plateforme de streaming 1D touch, replonge immédiatement à l'écoute des premières maquettes dans le grand bain de la production et du développement de carrière.
- Des musiciens émérites ensuite (pour l'enregsitrement de ce premier EP), séduits par ses textes, la qualité de ses mélodies et la richesse de son univers. Une rythmique en béton armé, avec à la batterie Stéphane Chandelier (Thomas Dutronc, Dimie Cat, Nat Jenkins and the Heart Caves), à la guitare Jérôme Ciosi (Thomas Dutronc, Antoine Ciosi), la contrebasse de Basile Mouton (nombreuses formations jazz, Babylone Circus) ou d’une section cuivres aguerrie, composée de Molls (Mister gang, Nougaro) et Christophe Cambou (K2r riddim, Orange street)
5 titres d’humeur tour à tour mélancolique, amoureuse ou joyeusement festive, “Le bon côté des choses” vient stimuler un large spectre de couleurs et d’influences et poser les bases d’un premier album prévu pour le printemps 2015.