Après des années passées à accompagner des groupes à la basse et à la contrebasse (Salomé, la Nef des fous, Le P’tit Jezu , Le Bruit qui court et, encore aujourd’hui, Louis Ville), à partager des scènes avec Touré Kunda, les Waillers, Marcel et son orchestre, Les Hurlements de Léo, Sanseverino, Higelin, Anis et d'autres !), Albert Boutilier s’empare du micro et devient L’ALBERT, empruntant les sentiers de la chanson française, mélangeant créole et français dans le texte.
L’Albert joue sur la profondeur de sa voix suave, aidé en cela d’un groove nonchalant mais certain, envoutant ceux et surtout celles qui ont le bonheur de lui prêter l’oreille (Erik bonnet, la plume culturelle)
Une contrebasse, une voix suave, un flot de crooner tranquille et impertinent, des sensations jazzy qui balancent, des textes d’une poésie douce et sucrée. Voici l’Albert, des mots qui font mouchent dans un univers littéraire sobre et des sonorités feutrées et colorées qui font vibrer. (Festival zikamine)