Le monde se divise en deux catégories, ceux qui ne trouvent leur plaisir qu’accoudé à un rade en écoutant un chanteur dépressif cracher sa mélancolie sur sa guitare sèche, cheveux gras et chemise sale au rapport ; et les autres, ceux qui trouvent que la musique folk, c’est barbant, et qu’on a autre chose à faire que de se déprimer encore plus. Et Luis Francesco Arena, la nouveauté du jour est bien partie pour réconcilier ces deux espèces.