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Poutrelles Fever

POUTRELLES FEVER, c’est la rencontre entre un Kaiser Sauzé fan des Stray Cats et un looser cheveux gominés boit-sans-soif, une danse entre un manouche joueur de poker et un officier de police corrompu , le baiser éperdu d’une strip-teaseuse donné à un gangster dans un Chicago des années 60.
Et si, le temps d’un songe, Michigan Avenue et sa pègre se situaient dans le Bugey… (France, 01)

Mais qu’est-ce que le phénomène Fever vient s’associer à une poutrelle me direz-vous ??!! Quel est le rapport ?? Où est la cohérence ?? On connaît la légendaire Saturday Night Fever pour ses pas de danses endiablés, l’effet Cabin Fever (sentiment d’enfermement) connut des Inuits pendant le long et sombre hiver polaire ou encore les Chase Fever représentés par ces chasseurs de violentes tempêtes en quête d’adrénaline !! Et bien à présent, il faudra s’accoutumer à l’effet POUTRELLES FEVER.

Sextuet né d’une rencontre alchimique durant le printemps 2008 dans cette fameuse contrée du Bugey (01), les POUTRELLES FEVER compose une musique empreinte d’une spontanéité électrique et contagieuse. Il faut se faire à l’évidence.

Leur répertoire est teinté d’une ambiance chanson passée à la moulinette rock’n’roll des VRAIES années rock’n’roll et agrémenté d’un assaisonnement boosté par un swing cuivré des plus athlétique !! Renforcé par ce savant cocktail, le chant quant à lui interprète et vit tout de bon ses histoires du quotidien et de sentiments universels. Car le ton évoque des propos engagés avec dérision et gravité sur le monde dans lequel nous vivons.

Le morceau Manouchska en témoigne : l’histoire d’une ado des Pays de l’Est trimbalée par les mains sales d’un réseau de prostitution et traitée comme un vulgaire produit prêt à la consommation. Mais pas seulement. La Valse des CRS porte un accent vitriolé sur le flicage que nous subissons de façon insidieuse tous les jours. Plus léger, Good bye for my darling fait allusion à un amour déchu avec un refrain des plus fédérateurs : ‘Les femmes c’est pire que d’la drogue dure, c’est quand y’en a qu’ça devient dur !’. Bref, il n’est pas ici question d’un reportage tv, mais bien de la réalité. Et la réalité est bien là.

Moins d’un an après leur naissance, les 6 musiciens ont déjà un nombre considérable de concerts à leur actif ; signe plutôt manifeste de perspectives…
Tel des kidnappeurs de décibels, leur unique rançon sera d’accéder le plus possible à la scène afin de révéler toute la mesure de leur franche énergie EXPLOSIVE !!
Route droite, freins débloqués, en route pour un shoot rock’n’swing manoucho-populaire…

Proverbe POUTRELLIEN :
Avant de regarder la paille que ton voisin a dans l’œil, regarde la poutrelle que tu as dans le cul !!!

Zdt